Sur le front du chlordécone, cela ne s’arrange pas

Chlordécone : « Nous allons évoquer le crime d’empoisonnement »

Chlordécone : « Nous allons évoquer le crime d’empoisonnement »

Face à une possible prescription du dossier dans l’affaire du chlordécone, qui pourrait de facto menacer les plaintes des associations écologistes, l’une d’elles, Ecologie Urbaine, s’est exprimée vendredi (12 mars), par la voix de ses avocats, sur les suites de son action sur le terrain judiciaire. Décryptage.Le combat que mène Ecologie urbaine ne date pas d’hier. L’auteur Raphaël Confiant, qui est un membre historique de cette association de défense de l’environnement, le rappelle en préambule. « Nous existons depuis 25 ans », précise-t-il après avoir excusé la présidente « qui travaille » en ce vendredi.

Aux côtés de l’Assaupamar, association amie et écologiste, et de l’Amses, toutes trois portent plainte conjointement en 2007 et se portent parties civiles dans le dossier du chlordécone.

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