Le réseau Recif veut mesurer l’efficacité des zones de protection (ouest france)

Avec le soutien de France filière pêche, des scientifiques, notamment du laboratoire Ecoseas de l’université de Nice Sophia-Antipolis, des gestionnaires ainsi que le comité des pêches des Alpes-Maritimes lancent, en février, Recif, le premier réseau de recherche pour l’ensemble des cantonnements et réserves du département.Celui-ci regroupe la réserve de Golfe-Juan, le cantonnement de la Pesquerolle, la réserve de Cagnes-sur-Mer, la réserve de Beaulieu, le cantonnement de Cap-d’Ail, la réserve de Roquebrune et un futur site au sud de l’île Saint-Honorat. Des comptages, des pêches expérimentales réalisées par les pêcheurs professionnels et une étude de l’ADN environnemental (ADNe) sur une saison froide, fin février, et une saison chaude, fin septembre, doivent permettre de mesurer l’efficacité d’une telle protection. Une première à cette échelle.

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