Pourquoi ne pas « habiller » nos ,villes? (une réflexion reprise par clément Gaillard)
Pourquoi avons-nous cessé d’habiller nos villes contre la hashtag#chaleur ?
C’est la question posée par l’excellent Kris De Decker dans l’un de ses derniers articles du LOW-TECH MAGAZINE (en anglais) : https://lnkd.in/dpbwxPxh
Il traite de l’histoire de l’utilisation des toiles dans l’architecture et l’aménagement d’intérieur, que ce soit pour l’amélioration du hashtag#confort d’hiver ou d’été.
Cet article rejoint le post que j’avais publié sur la disparition des voiles d’ombrage qui étaient beaucoup plus répandues dans nos hashtag#villes au début du siècle dernier : https://lnkd.in/dq–dwsQ
Le rafraîchissement passif des bâtiments et des espaces publics était alors la seule manière d’affronter les vagues de hashtag#chaleur.
Tout cela confirme qu’il existait une véritable hashtag#architecture textile qui n’a malheureusement laissé que peu de traces dans les grands traités d’architecture classiques.
Nous sommes bien heureux d’avoir des cartes postales, des gravures et des peintures qui témoignent de ce hashtag#patrimoine commun de protection contre la chaleur.
Les voiles d’ombrage, les stores en roseaux et les linges humides suspendus dans les rues sont autant de solutions à redéployer dans un contexte d’adaptation au changement hashtag#climatique.
On a souvent tendance à présenter l’architecture comme une extension de l’habillement.
Mais on pourrait à l’inverse considérer que l’habillement est un prolongement de l’architecture et que nos hashtag#villes et nos bâtiments devraient être habillés en fonction des saisons.